En Côte d’Ivoire, à Abidjan, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), avec le soutien des Fonds Muskoka et en partenariat avec plusieurs agences onusiennes et institutions hospitalières, a lancé un projet pilote de réparation des mutilations génitales féminines (MGF).
Trente femmes ont bénéficié d’une prise en charge médicale et psychosociale au CHU de Treichville. Parallèlement, des professionnels de santé venus de six pays africains ont été formés aux techniques de réparation. Cette approche globale vise à restaurer l’intégrité physique, psychologique et sexuelle des femmes victimes de MGF.
Le projet a également permis de renforcer les capacités du système de santé ivoirien, en posant les bases d’une diffusion régionale de la technique. L’initiative marque un tournant dans la lutte contre les violences faites aux femmes et pour la réduction de la mortalité maternelle en Afrique.
Source : OMS Côte D’Ivoire
