dimanche, octobre 13, 2024

La variole du singe,une menace émergente à surveiller de près       

 L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché, mercredi 14 août, son plus haut degré d’alerte face à la résurgence sur le continent africain des cas de Mpox, anciennement appelée variole du singe. Une nouvelle souche du virus, d’abord identifiée en République démocratique du Congo (RDC), s’est propagée à plusieurs pays voisins ces dernières semaines.

La variole du singe est une maladie virale qui a été identifiée pour la première fois chez les singes dans les années 1950. Elle est causée par un virus qui appartient à la même famille que celui de la variole humaine, bien que la variole du singe soit généralement moins grave.

 Origine et transmission

Le virus de la variole du singe se trouve principalement en Afrique, où il est souvent transmis aux humains par des animaux infectés, comme les rongeurs ou les singes. Les personnes peuvent également contracter la maladie par contact direct avec des fluides corporels ou des lésions cutanées d’une personne infectée.

 Symptômes

Les symptômes de la variole du singe apparaissent généralement de 5 à 21 jours après l’infection. Ils incluent :

– Fièvre

– Maux de tête

– Douleurs musculaires

– Fatigue

– Éruptions cutanées qui ressemblent à des boutons

Ces boutons peuvent se transformer en vésicules remplies de liquide et finir par former des croûtes.

 Prévention et traitement

Il n’existe pas de traitement spécifique pour la variole du singe, mais la maladie est généralement bénigne et se résout d’elle-même en quelques semaines. La prévention consiste surtout à éviter le contact avec des animaux potentiellement infectés et à maintenir de bonnes pratiques d’hygiène.

Les vaccins contre la variole humaine peuvent également offrir une certaine protection contre la variole du singe, ce qui est important en cas d’épidémies.                                      

La variole du singe est une maladie qui peut sembler préoccupante, mais elle est généralement moins grave que la variole humaine. En restant informé et en prenant des précautions, il est possible de réduire le risque de transmission et de protéger sa santé.

Charlene Doria OLONG EBOUE (stagiaire)

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