La cérémonie d’Africa Ceo forum 2023 a été le cadre d’accueillir un nouveau signataire de la charte de la diversité de genre du woman working for change (WFC).
La Charte de la diversité de genre du Women Working for Change (WFC) a été signée par l’établissement bancaire à travers Jeremy Awori, directeur général du groupe Ecobank, fervent défenseur de la diversité et de l’inclusion au sein de l’organisation, et Lamia Merzouki, présidente de WFC et directrice de l’exploitation de Casablanca Finance City Authority, selon une note transmise à L’infodrome.
Prise en compte du genre
La Charte du WFC souligne les principes clés qui minimisent la diversité des genres et encouragent les organisations à établir leurs propres objectifs et plans d’action en fonction de leur contexte et de leurs ressources. En s’alignant sur la mission du WFC, la décision du Groupe de signer la Charte de la diversité de genre du WFC montre également l’engagement de la banque à favoriser un environnement inclusif qui donne aux femmes les moyens de prospérer et de contribuer au développement socio-économique de l’Afrique.
<< L’accroissement de la diversité des genres et la promotion de l’égalité font partie de notre mission. Le récent programme de diversité et d’inclusion lancé pour répondre aux priorités internes et externes en matière de genre témoigne amplement de notre engagement >>, a déclaré Jeremy Awori.
Il a dit croire au << pouvoir de transformation des femmes pour privilégier une croissance durable >>. C’est encore pour l’organisation un engagement à créer plus d’opportunités pour les femmes en Afrique et à construire un pipeline de leadership diversifié en leur sein. Ce qui démonte un sens de la responsabilité en faveur de la réussite des femmes.
La femme africaine dans le secteur privé
Les initiatives « Women Working for Change » ont également permis de constater que, malgré les avantages potentiels, seul un chef d’entreprise africain sur trois faits de la diversité des genres une priorité. Pourtant, la réalisation de la parité hommes-femmes nécessite des politiques proactives, une planification minutieuse, des engagements clairs de la part des dirigeants et une évaluation continue.
Notons que, selon le Rapport sur le développement humain en Afrique, des études réalisées que la réduction de l’écart entre les hommes et les femmes dans la seule Afrique subsaharienne pourraient produire 95 milliards de dollars supplémentaires par an, (2016).
Source : www.linfodrome.com
